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Date de création : 04.01.2014
Dernière mise à jour :
04.01.2014
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Roman;">APPRENONS À VISITER LE MOLE
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Roman;">La ville du Mole St Nicolas, surplombant la Baie du même nom, offre une structure attrayante à ses différents visiteurs venant de partout, soit par mer, soit par avion, soit en quatre par quatre, soit à dos de cheval ou à dos d’âne, soit à pieds ou par n’importe quel moyen…
Roman;">Par Bateau, le Mole présente une façade incurvée donnant l’aspect à presque deux tiers d’une cuvette brisée d’un tiers avec une structure en gradin, on dirait que le gradin du stade Sylvio Cator se trouve juste en face quand on est parvenu en navire en guise de tribune. Pour entrer dans cette cuvette au tiers dérangé d’en face, if faut contourner la digue bien érodée par les vents du grand canal communément appelé Canal du vent sous l’influence du super « GULF STREAM » qui traverse l’océan atlantique, laquelle digue connue sous le nom de Presqu’île du Mole St Nicolas.
Roman;">Quand on veut pénétrer la Baie du Mole, on doit contourner cette digue en suivant la direction du fameux courant marin pour se retrouver juste en face d’une structure ayant la forme d’un bottillon, qui n’est autre qu’une masse d’eau entourée de terre de presque tous les cotés, dont l’entrée se trouve juste au moment où l’on va entamer le grand canal traversé par tous les bateaux venant de partout.
Roman;"> Au fur et à mesure qu’on pénètre le bottillon par son entrée, on se voit déjà dans un véritable lac ayant l’aspect du lac Azuéi, sans regarder les pourtours ; car cette étendue d’eau ne présente aucune résistance, avec des vagues très douces, offrant l’hospitalité aux énormes bans de poissons qui se trouvent au grand courant hostile à leur vie paisible.
Roman;">Cette structure bottillonnée donne aussi refuge aux passants du grand canal, car ne pouvant pas résister aux grandes rafales de vents incessants. Ces passants de tous les calibres (c’est-à-dire les bateaux de croisière, les bateaux marchands et surtout les voiliers) se sont obligés d’y prendre refuge au moment des grandes turbulences de la mer.
Roman;"> A noter que ce canal est la route principale menant vers l’Amérique du Nord après avoir traversé le canal de Panama reliant le Pacifique à la mer des Caraïbes.
Roman;">Malheureusement, ces visiteurs d’occasion ne peuvent contempler cette cité pittoresque qu’en bateaux, puisque aucune structure accueillante n’est pas encore élaborée
Roman;">On se demande jusqu’à présent qu’est-ce qui fait que la flottille dirigée par Christophe Colomb ait pu parvenir jusqu’à cette magnifique Baie sans pouvoir atteindre Cuba avant ? Est-ce l’effet du « Gulf Stream » ou bien une attraction surnaturelle ? Là, ce sont des questions qui demandent des réponses bien réfléchies.
Roman;">Est-ce qu’il n’y a pas lieu de penser à mettre des structures accueillantes pour ces visiteurs occasionnels ? A coté du relief, bien entendu un relief sans pareil ; les sites tels que les Forts, construits à la période coloniale ou après l’indépendance pour consolider cette dernière, offrent aux touristes une possibilité d’excursion, on peut citer en exemple la fameuse Poudrière. Pour cela on demande au Ministère de la Culture quel est le montant de l’investissement, puisque cela peut rapporter gros en grand G ?
Roman;">Si l’on doit atteindre le Mole par avion, la première attraction c’est la presqu’île, on dirait tout simplement une île, car on a l’impression qu’il y a un pont reliant la grande terre à la petite ; ou bien une corde qui les noue ensemble.
Roman;"> Au coté septentrional il y a les vagues sauvages de l’océan atlantique qui s’abattent tout le temps sur le coteau, engendrant des bancs de pierres très accidentés, lesquelles vagues alimentées par les turbulences du courant marin et les vents du nord. Ces vagues sont très dangereuses et destructrices. Le versant méridional, contrairement à celui septentrional, se retrouve dans le calme plat ; c’est la douceur, la tranquillité. Le coteau n’est pas accidenté, il y a seulement des crevasses très pénétrantes entretenues par les chiquenaudes des vagues douces durant des siècles qui constituent le refuge des poissons, des langoustes, etc.
Roman;">Le visiteur en Aéronef est ébloui par la tendresse d’une baie douce, en face d’un océan presque enragé voulant traverser la solide digue qui est la presqu’île pour troubler le repos de la baie endormie. Cela donne la figure du grand Goliath agité en face du petit David calme mais intrépide, puisque la bouche du bottillon n’est pas en face du courant marin traversant l’atlantique. La baie se trouve protégée par la presqu’île parce qu’elle résiste aux vents impétueux qui s’abattent sur elle.
Roman;">A noter que ces vents offrent la possibilité d’une puissante source d’énergie éolienne.
Roman;">Le visiteur en avion a encore autres choses à contempler : le gradin du Mole, toutes les montagnes surplombant le reste de la structure ont l’aspect d’escaliers avec des pans de pierres érodées par les intempéries des siècles.
Roman;">Il ne faut pas oublier non plus, la gorge ou découle la rivière du Mole plantée en bananeraie et en cocotiers ou autres arbres, rendant le tableau plus magnifique et attrayant plus que jamais.
Roman;">Par terre, les visiteurs dans le temps, avant d’atteindre le Mole, avaient l’impression de descendre en enfer, car les péripéties étaient vraiment désagréables. Même les bêtes de somme avaient détesté cette contrée ; c’est un endroit très pierreux et n’offre pas de grande possibilité à l’aménagement sans l’aide de la technologie moderne. Mais à présent, atteindre le Mole par terre est vraiment aisé si on considère la situation générale de Haïti.
Roman;">Il y a trois voies terrestres et même quatre, Les unes sont plus difficiles que les autres dépendant l’attirance qu’elles présentent.
Roman;"> La première voie c’est celle qu’offre le littoral, en passant par Bord de Mer de Jean-Rabel, qui est vraiment intéressante par ses richesses de vue à la mer et à la montagne. Sur tout le long du littoral la mer est toute bleue, on a l’impression qu’on rentre dans le firmament parsemé d’étoiles qui scintillent au grand jour.
Roman;"> Le vent tourbillonne l’océan qui envoie des vagues remuant à tout moment le bassin océanique ; cette mouvance continue génère ces fausses étoiles. En parcourant tout le long du littoral on a à apprécier le grand concert des vagues qui s’écrasent dans les bancs au même rythme quelque soit l’endroit avec un ton symphonique, même si ce n’est pas trop doux, mais c’est un peu agréable à l’oreille.
Roman;">Quand le temps est beau et que l’on emprunte cette voie, le vent est doux et agréable dépendant du visiteur qui aimerait vraiment savourer petites rafales de vent qui s’abattent sur le corps en lieu et place d’un doux massage corporel.
Roman;">Il y a les montagnes, par endroits, qui présentent des escaliers que l’on croirait très rapprochés les uns par rapport aux autres, alors qu’en traversant une seule plateforme la marche est interminable.
Roman;">La seconde voie c’est celle de Mare Rouge en passant par Cote de Fer qui parait la plus intéressante au point de vue touristique, mais l’accès est réellement difficile ; c’est là qu’on descend véritablement l’escalier. Là on a le Mole sous les pieds, après chaque marche on croyait que la ville est beaucoup plus près alors qu’on a à parcourir de grandes distances.
Ce qu’il y a d’intéressant c’est le dilemme espoir d’arriver et le désespoir de ne pas atteindre à temps l’objectif. Puis que, par la vue la presqu’île et la baie sont à quelques pas alors que la route à cause de sa structure empêche l’accélération. C’est à partir de cette route, quand le temps est beau, dans la nuit qu’on peut apercevoir de la lumière à Cuba, l’Ile voisine d’Haïti. Cette voie permet d’avoir une vue aérienne de la majeure partie de la structure intéressée.
La troisième voie qui peut se confondre avec celle de la quatrième, toujours en sortant de Mare Rouge évitant le tronçon menant à Bombardopolis, par Savane Mole, c’est la voie la plus facile. Toujours on a l’impression qu’on descend par des marches d’escalier. Tout le long de la route ,cette zone est caractérisée par un indice d’aridité élevé, à cause de la structure du sol composée presque uniquement de pierres en glacis, impossibilité d’avoir de grands arbres. A cet endroit on ne trouve que des arbustes que les habitants se servent pour fabriquer des mottes de charbons de bois. Il y a deux fléaux qui sévissent dans la zone : -Indice d’aridité élevé et abattage des arbres ou arbustes pour le charbon.
Avant d’atteindre le Mole par la vue, la première image du tableau à voir par le visiteur c’est la désertification de la zone, on a l’impression que celle-ci est inhabitée.
On se demande s’il y a une quelconque habitation ou l’on pourrait retrouver les moyens de subsistance de ses habitants. Certainement, il y a des oasis parmi lesquelles on peut citer Lavaltière, une zone de production vivrière bien irriguée par un cours d’eau.
Au fur et à mesure que l’on descend marche après marche, on se voit tout près de la structure attrayante composée de la presqu’île, de la baie (aspect de bottillon), de la gorge et du reste de la cuvette ; alors qu’on a beaucoup de kilomètres à parcourir pour atteindre l’objectif. On a l’incessante envie d’y toucher, car déjà, la vision nous met dans la structure même. Cependant, la marche est interminable.
On est partagé entre deux sentiments ; l’espoir et le désespoir, c’est lRoman;">à ou réside le charme en allant au Mole par terre.
L’attraction pittoresque offre aux touristes un sentiment de satisfaction permanente. Ce qui est important dans tout cela c’est l’inconnu qui aiguise la curiosité des visiteurs. On ne peut pas tout dire en matière de sites, même pour les habitants de la zone il y a toujours des surprises ; en un mot Mole St Nicolas estRoman;">à redécouvrir.
Ministère du Tourisme, maintenant la balle est à vos pieds, sachez que pour le moment la Diaspora Haïtienne est le plus grand fournisseur de devises stables pour Haïti pour ne pas dire le seul moyen de production nationale. Cependant, Haïti par sa situation géographique offre de grandes possibilités touristiques.
Haïtiens, Haïtiennes, nous avons commencé par le Mole, notre porte d’entrée, nous avons besoin de rentrer par la mer des baies d’Haïti, la baie du Mole St Nicolas, la première baie ou la flottille de la première expédition de Christophe Colomb a jeté l’encre et ou ce dernier a plantRoman;">é la première la croix.
Roman;">Recommençons par le Mole, c’est l’ouverture, la devanture de la maison. Par un élan patriotique, allons redécouvrir la belle cité de la découverte : le Mole.
Roman;">Explorons un peu le Mole par la mer, comme on le dit tantôt la baie est doucereuse, à cet endroit se trouve la plage la plus naturelle avec le sable blanc nacré, l’eau de mer très claire laissant pénétrer les rayons du soleil qui font entrevoir toutes les couleurs inimaginables.
Roman;">Des petits poissons faufilent avec des gestes ondulés sous l’eau cristalline donnant l’aspect d’une faune endormie de l’Amazonie.
Roman;">On ne sait pas pourquoi on a donné le nom : Résigné à la plage. Mais c’est vraiment intéressant d’y aller. En face, c’est la Presqu’île empêchant l’envahissement de la plage par l’atlantique en fureur.
Roman;">Sachez aussi que cette masse d’eau bien protégée par la digue est la plus poissonneuse de toutes les eaux d’Haïti, c’est un endroit de refuge quand la grande mer est bouleversée.
Roman;">Les grandes turbulences de l’atlantique sous l’influence des vents impétueux et du courant marin traversant le canal de la Tortue en passant à quelques dizaines de mètres de la pointe de Jean-Rabel rendent impossible toute construction de Wharf, exceptés le Port-A-l’Ecu avec une petite baie calme et douce, et la baie du Mole St Nicolas offrant la possibilité de construire des Wharfs stables.
Roman;">Toutes ces turbulences exigent les poissons à pénétrer la baie qui est la paradis des mers. D’où la nécessité d’instituer une structure de pêche via la technologie avancée, tout en protégeant les diverses espèces de poissons et en réglementant les conditions de pêche.
Roman;">Cette baie offre aussi la possibilité d’une station balnéaire et même permettre des excursions en pleine baie aux touristes.
Roman;">La presqu’île présente aussi un bel attrait d’excursion d’où la mise en place d’une bonne structure de circulation pour mieux contempler la diversité de vue donnant sur la grande terre et sur l’océan atlantique s’avère nécessaire
Roman;">Le coté franchement atlantique de la presqu’île a un coteau escarpé très accidenté ou vivent des vautours sauvages qui attaquent à tout venant.
Roman;">L’aviation se trouve avant le collet de la presqu’île avec la direction sud-ouest
Roman;">Nord-est, limitée au sud-ouest par la queue de la baie et au nord-est par la cote baignée par l’océan atlantique dont leurs vagues viennent s’écraser sur son bord accidenté inspirant toujours la peur.
Roman;">L’aéroport se trouve à environ trois kilomètres de la ville. Sur la route on peut commencer à apprécier la splendide baie avec ses douces vagues tapant les rebords de la presqu’île. Apres un court parcours de quelques dizaines de mètres, c’est la fameuse Poudrière qui fut l’usine de la poudre à canon dont la structure reste encore intacte malgré les intempéries.
Roman;">Tout de suite à coté, on a les vestiges d’un Fort qui semblerait protéger la ville contre toute attaque pouvant venir de l’entrée de la baie. On poursuit son petit chemin pour se retrouver au cœur de la ville traversée par quelques artères. La distribution des différentes rues est quasi normale, pas plus que la largeur d’une main littéralement, et présente une surface plane. Le Mole a des banlieues surélevées contenir la dernière marche de l’escalier.
Roman;">Il y a la rivière du même nom qui emprunte la gorge au coté occidental pour se jeter à la baie, coté oriental de la magnifique plage « Résigné ».Non loin de la plage au sommet ou au pied de la montagne se trouvent des vestiges de Forts.
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